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Il y a des journées qui sont totalement inutiles et tu te demandes pourquoi elles existent. Il faut en réalité plonger au coeur de Facebook pour comprendre ce problème que de nombreux internautes rencontrent. Le réseau social de Zuckerberg peut être considéré comme une addiction.
Facebook est ton fidèle compagnon
Tout le monde connaît l’aventure de Mark Zuckerberg qui a décidé de révolutionner le domaine universitaire avec son réseau social. Certes, certains pensent qu’il a volé le concept à deux collègues, mais c’est un détail. Aujourd’hui, Facebook peut réellement rythmer le quotidien des internautes puisqu’il est utilisé pour diverses raisons :
- Oublier que la vie peut être solitaire et monotone
- Discuter avec des faux amis
- Converser avec des vrais amis sans utiliser les SMS
- Regarder les actualités instructives
- Lire les informations débiles qui t’apportent un soupçon de joie
- Espionner les voisins et développer une certaine jalousie
- Suivre l’actualité de tes groupes préférés
Facebook peut être bénéfique si tu es raisonnable, mais pour certains, il s’agit malheureusement d’une addiction. Pour savoir si tu es totalement accro, il suffit de prendre un peu de recul et de regarder tes habitudes :
- Le réseau te suit dans tous tes mouvements, et même aux toilettes
- Impossible de prendre le petit déjeuner ou un repas sans regarder le fil d’actu
- Laisser la page ouverte tout au long de la journée pour découvrir la moindre nouveauté
- Installer l’application sur tous les appareils pour recevoir les notifs
- Ouvrir cette application au moins 20 fois dans la journée
- Faire un dernier check avant de dormir
- Vérifier les actualités dès le réveil
Tu es donc dépendant de Facebook et c’est compréhensible. Auparavant, lorsque tu t’ennuyais, tu ne pouvais regarder que le plafond de ton bureau ou de ta chambre, maintenant tu as cette application. Elle est considérée comme une fenêtre ouverte sur le monde et discuter avec des personnes même inconnues te donne l’impression que tu n’es pas seul. Le virtuel est à l’origine d’une nouvelle vie sociale qui malheureusement peut entraîner une profonde détresse psychologique. En effet, lorsque tu prends conscience que la vie se déroule dehors, et non devant ton ordinateur ou ton Smartphone, il est trop tard. Tu dois penser que je critique sans savoir, mais Facebook me sauve de ma misérable vie sans fondement et sans intérêt. Me connecter sur le réseau peut m’occuper plusieurs heures par jour et pendant ce laps de temps, j’oublie partiellement que mon quotidien est rempli de solitude, de tristesse et de monotonie.
Je suis persuadée que je ne suis pas la seule dans ce cas, car discuter à travers une plateforme est éphémère, mais tu as au moins l’impression que les journées passent plus vite. Finalement, sans Internet, Facebook et compagnie, j’aurais un vide intersidéral qu’il faudrait absolument combler par un grand rien. Alors le réseau social ne t’empêche pas de sombrer ou de déprimer surtout lorsque tu as conscience de cette solitude qui s’agrippe à ta vie comme une sangsue. Il a donc été décidé de consacrer la journée du 28 Février à ce réseau social, car le but était de ne pas se connecter une seule fois. Ayant trouvé cette actualité sur Facebook, je pense que j’ai raté ce défi. Je vais aussi être franche, je n’étais absolument pas au courant. Si tu connaissais l’existence de cette journée et que tu t’es connecté malgré tout, je t’annonce que tu es peut-être dépendant.
Ce sont tout de même 2.13 milliards d’utilisateurs qui se croisent sur Facebook. Le réseau a donc une partie néfaste et un ancien haut cadre de la société de Mark Zuckerberg avait fait une annonce fracassante :
Je ne laisse pas mes enfants utiliser cette merde. Je pense que nous avons créé des outils qui déchirent le tissu social.
Si toutefois tu n’as pas suivi la journée sans Facebook, tu peux toujours effectuer un test demain. En ce qui me concerne, je vais garder le réseau social, c’est mon seul ami ! Il ne demande rien, il est là lorsque tu as besoin et à n’importe quelle heure sans sourciller. Cette vérité est tout de même terrifiante.
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